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Passeurs de souffle a déménagé. Retrouvez toute l'actualité de ce spectacle sur le site de la Compagnie Ouvem'Azulis :

Revue de Presse

Pour Passeurs de souffle :

• “... Ce duo a donné beaucoup de subtilités, tant par les sonorités que par les ambiances différentes... Hervé Hebert l’organisateur du concert, confie: «Ils nous emportés et transportés dans le monde de la poésie.»” - Valérie Cammas, L’Echo Républicain, février 2015

 

• “L’espace Béraire affichait complet, vendredi soir... Entre humour et tendresse, les spectateurs se sont laissés embarquer par les mots et les mélodies et ont écouté, parfois dans le recueillement, le souffle de la poésie.” - La République du Centre, novembre 2014

 

Pour Les Ingénu(e)s :

• “...Les Ingénu(e)s ont régalé un public de connaisseurs... Ils ont transporté les cent cinquante spectateurs dans un univers fait de sensibilité, teinté parfois d’humour, sur des rythmes de jazz, blues et autres bossa-nova...” - Jean-Paul Huber, La République du Centre, 2012

 

• “...Avec beaucoup de délicatesse et de sensibilité, le duo (...) revisite Baudelaire ou Valéry, Eluard et Reverdy ou encore Silvia Baron Supervielle et Paul Fournel... Après, il suffit de se laisser porter, de sentir et de ressentir, d’entrer dans le texte et de le goûter à sa façon.” - Gaby Ascencio, La République du Centre, 2011

 

• “...Voix douce, guitare jazzy, accordéon enveloppant, tout contribue à servir le poète... Les Ingénu(e)s offrent une douce parenthèse dans ce monde brutal. L’occasion de découvrir que la poésie n’est pas un art en sommeil. Il suffit de souffler les mots pour qu’ils reprennent vie.” - Orléans.mag, 2007

 

CD coup de coeur “...la prise de risque est totale... Le résultat, aussi surprenant soit-il à la première écoute, est tout à fait réussi grâce à la complémentarité des deux artistes : belles mélodies aux rythmes “accrocheurs” portées par une interprétation toute en nuances... Pour le plaisir, citons le modèle d’arrangement à deux voix qui illustre le cours texte de cinq vers de “L’adieu” (Apollinaire) à la mélodie envoûtante qui s’égrène sur trois minutes. On sent un réel bonheur de s’approprier cette poésie qui naît de la complicité du duo... tout est coloré et revitalisé...”- Jean-Pierre Cretin, Chant’Essonne, 2004

 

• “...Ce duo original revisite avec beaucoup de délicatesse et de sensibilité Baudelaire ou Valéry, Éluard ou Reverdy, ou plus près de nous encore Silvia Baron Supervielle et Paul Fournel... Pour moi, la surprise viendra des sonnets malins ou grivois de certains auteurs post-Pléïade, dont Saint-Amant (Le paresseux) et Marc Laphrise de Papillon - une découverte ! - dont le “Ça je veux fourniller” (en ton joly fourneau) est un régal... cet enregistrement tient toutes ses promesses. Rien qui pèse ou qui pose. Et sans doute fredonnerez vous longtemps la mélodie de “l’Adieu” d’Apollinaire, qui clôt à la perfection l’album, emportés par les douces volutes de l’accordéon et les boucles du chant de nos deux amis.”

Jean-Pierre Nicol, Rétroviseur, trimestriel de poésie, printemps 2004

 

• “... La poésie tient lieu de soufflet magique. Par sa grâce, les choses et les êtres flamboient... (Son) chant se nourrit des mariages... Les mélodies s’accordent aux bruissements du monde... Chez Rascal, les courant sont frétillants, prêts à gambader dans les pâtures de nos pulsions... les frontières de l’espace et du temps s’effacent...” - Serge Dillaz, Chorus n°47, printemps 2004

 

• “...Et le miracle se produit : une relation intime se crée entre le texte et l’auditeur, il s’agit de se laisser porter, de sentir et de ressentir, d’entrer finalement dans le texte, de le goûter à sa façon : sonorités, rythmes, humour, associations d’idées, plaisir...”

Pierre Le Borgne, Interkulturelles (journal allemand), mai 2004

 

•“...Ingénu(e)s porté(e)s aux nues. Et voilà comment François Rascal a embarqué Arnaud Méthivier en poésie. Ceux qui en ont parcouru l’ingénieuse partition, vendredi soir, au Moulin de la Vapeur d’Olivet, ont connu le frisson. Textes et chansons, guitare et accordéon pour une féerie sensuelle et superbement contemporaine au pays d’Apollinaire, Verlaine, Valéry ou encore Eluard.” 

Philippe Chastanet, La République du Centre, 2003

 

• “...François Rascal qui n’est pas sans faire penser à David Mc Neil ou Dick Annegarn, effectue une pure incursion en poésie... Sensibilité, passion pour le jazz, vivacité et simplicité sont au rendez-vous...” 

Le journal de Gien, 2002

 

• “...François Rascal apporte à ces textes sa sensibilité, sa passion pour le jazz, sa vivacité, sa simplicité. Entre swing et bossa, la guitare redonne énergie, fraîcheur et vitalité à ces vers, tandis que l’accordéon d’Arnaud Méthivier en souligne les accents, avec douceur ou avec rage. Un excellent travail pour une poésie toujours vivante !” - Francis Panigada, Chant’Essonne, 2002

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